Vayámonos à cagar à la voie

Par Javi
Et voilà qu'il a finalement succédé : comme c'est une Gauche Unie il a voté dans le Congrès des Députés avec, entre les autres, le Parti de droite, une résolution sur la politique cubaine. L'hémorragie “la déclaration institutionnelle” peut être lue dans le BOE du 9 Mars (et je dis “comme il paraît” parce que l'on indique dans le Bulletin qu'elle a été approuvée par unanimité des membres de la Commission de Rapports internationaux, en étant Gaspar Llamazares Trigo l'un de ses membres).
J'ai à dire, dans un déchargement de la résolution du Congrès, que celle-ci est assez plus aimable que l'approuvée par la fédération navarraise d'IU, qui dit basiquement le même, mais il le fait sous la protection du rendez-vous d'une icône du socialisme comme Rosa Luxemburgo.
Tandis que dans le Parlement Européen nous proposons une très bonne résolution sur la matière (en démontrant que l'on peut être sensible en ce qui concerne les Droits de l'homme sans aller de la main du PEPOE), en Espagne nous préférons nous aligner avec le discours PRISA-Vocento et envoyer à la merde nos principes, en nous montrant enchantés de faire le bouillon gros aux héritiers orgueilleux du franquisme.
Espérons qu'au moins, maintenant que nous avons été bons et nous nous sommes comportés comme Polanco Jr et Pierre Jota espéraient que nous nous comportions, jetez-nous une main en nous donnant un paragraphe moyen de terrain par semaine, et ainsi réussissons à passer de 3,8 % à un triomphant 5 % des votes. De là à une société sans classes il y a un pas moyen.
Personnellement ne me reste plus qu'admettre que nous méritons toute la merde que nous mangeons, et un peu de merde plus. Maintenant vous savez déjà ce qu'il touche : à assumer le rouleau de “green new deal” et à marcher joints vers l'insignifiance finale.
Qui nous baisent.

En célébrant avec la Gauche Indépendante du Saint-Sébastien des Rois (Madrid)

Les collègues de Gauche Indépendante du Saint-Sébastien des Rois (Madrid) ont eu l'amabilité de m'inviter à l'acte de célébration de 10 ans de ce parti politique. Il m'aurait plu aller mais je n'ai pas pu assister samedi passé en raison "d'une force majeure". Je veux envoyer mes félicitations depuis les Zéros aux collègues de Gauche Indépendante et mes félicitations pour avoir rempli la salle de réunion du jeune centre de ma ville (Sanse) sur-le-champ politique par son X anniversaire. En cliquant dans l'image vous verrez une présentation de quelques photographies de l'acte précité :

et ici le lien au vidéo X anniversaire de Gauche Indépendante qu'ils ont faite et qui me semble très intéressante.
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Il y a 10 ans...
... je militais déjà dans l'assemblée d'IU de Hortaleza (Madrid) et je peux rappeler toutes les "pertes" que nous avons eu dans ce temps. Une implosion de l'organisation motivée par beaucoup de facteurs mais dans laquelle à mon jugement, le Parti Démocratique de la Nouvelle per Initial et Gauche Catalunya ils ont eu beaucoup à voir. C'était des temps durs dans lesquels on accusait dans les assemblées les collègues de PDNI "des sous-marins du parti socialiste espagnol". Je rappelle ma résistance et incrédulité devant telles accusations, et un souvenir comme ces accusations ils sont devenus une réalité finalement quand le PDNI est sorti d'IU en faisant un énorme dommage politique et mediático. ICV a "divorcé" d'IU, il est né, Esquerra Unida i Alternatif (EUiA) comme référent d'IU en Catalogne. De plus une partie de l'organisation a été perdue en Galice, en Castille La Tache, l'Estrémadure, l'Andalousie. . Selon mon opinion, tout cela a obéi à une stratégie du parti socialiste espagnol dirigée à désamorcer une force politique qui dans ce moment, constituait une menace petite mais réelle à l'hégémonie du parti socialiste espagnol dans la gauche électorale espagnole. Nous préoccupions et il fallait nous arrêter. Comme il arrive toujours dans ce type de dynamiques auto-destructives, les dommages politiques ont été très supérieurs au décompte simple de militants perdus : de grands dommages politiques et mediáticos pour un très petit nombre de militants qui sont partis.
L'un des nombreux "fronts locaux" de cette "guerre" a été Saint-Sébastien des Rois, où le maire de l'époque d'IU Angel Requena a appuyé le PDNI et par la suite lui a créé le parti 'la Gauche Indépendante' en sortant d'IU. Je n'étais pas au Saint-Sébastien des Rois je n'ai pas en ce temps-là, non plus de souvenir concret de cela, mais je suis sûr que dans ce moment j'ai dû penser que "Angel Requena et le reste de collègues d'IU qui sont partis étaient quelque chose de pareil à quelques traîtres".
Nous sommes en 2009...
... et les forces politiques à gauche du parti socialiste espagnol nous sommes à des heures très basses en toutes les enceintes. La question a maintenant un autre objectif, et probablement dans le passé des choses étaient faites mal depuis l'un et un autre côté. Aujourd'hui IU recommence à collaborer avec ICV en Catalogne, en Espagne et en Europe (non sans une friction). Aujourd'hui quelques collègues ex-PDNI recommencent à être dans IU. Aujourd'hui IU est dans un processus de Refondation qui veut reconstituer une force politique à mon jugement indispensable en Espagne. À mon aujourd'hui m'on n'a pas de doute que les collègues de Gauche Indépendante de Sanse soient indispensables pour cette ville et que la Gauche Unie de Sanse a à travailler très étroitement, plus qu'il peut, avec la Gauche Indépendante. J'à un aujourd'hui ne peux pas voir à la Gauche Indépendante plus que comme ce qu'ils sont : mes collègues avec qui j'aimerais aller de la main pour obtenir que la gauche recommence à gouverner dans ma ville en 2011. Le reste me reste. Une accolade et en avant avec le travail des collègues de Gauche Indépendante.
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Le paradoxe du plombier incompétent en 2009. Les nouveaux dieux de l'économie.

Je l'appelle "le paradoxe du plombier incompétent" parce que l'un a son petit coeur de théorique et il lui plaît faire votres propres thèses avec des noms fiers.
Je me réfère à un fait très concret et très réel que j'observe pendant 2009. Pour voir si je l'explique pour que je sois compris :
Imaginons que tu appelles un plombier parce que te sort un peu la baignoire et l'oncle / tante se jette 1 heure de travail après lesquelles une pâte te touche par la main-d'oeuvre et les pièces. Il culmine son travail en bredouillant "était le mrrrofndonmguero du miñestrógalo mais est réglé un son 400 EUR". Tu lui paies son dinerín et 3 jours plus tard la voisine monte à 8:00 heure am en criant comme la petite fille de l'exorciste parce que son salon - salle à manger qui est juste au-dessous de ta baignoire est les Cataractes du Niagara. Qu'est-ce que tu fais dans cette situation ? Logiquement :
- tu t'excuses devant ta voisine.
- t'acuerdoas de la mère du plombier.
- tu l'appelles et tu mets une verdure.
- tu exiges qu'il tourne et répare la merde qui t'a fait et par celle qui t'a touché 400 EUR.
- enfin et surtout, tu ne recommences pas à lui appeler dans ton puñetera une vie.
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Des exemples similaires me viennent à l'esprit avec un marchand de fruits qui te bande un melon pourri, avec un atelier mécanique qui te fait une réparation de 1.200 EUR et deux semaines plus tard tu as à jeter la voiture, avec une sécurité du foyer que quand il arrive le cas ne te couvre rien, une réforme du foyer qui te laisse la maison dépecée, un programme informatique qui ne fonctionne pas, un mauvais diagnostic médical... etc. etc. etc.
Je comprends que vous attrapez où je vais : si tu as confiance en professionnel et en son professionnalisme et les résultats sont néfastes dans ton puñetera une vie tu recommences à avoir confiance en lui ou elle.
Bon puisqu'il regarde où là nous avons les professionnels qui conduisent notre économie : Le président du gouvernement, le Ministre de l'Économie, Banco Central Europeo, banque d'Espagne, les Présidents de la Banque Privée, de CEOE, Commissaires Europeos d'Économie, les autorités boursières, les annalistes financiers, tertulianos économiques, etc. etc. etc. tous, tous, tous, ont conduit notre économie sans s'apercevoir de ce que s'approchait un tremblement de terre financier et tout de suite économique qui est devenu la plus grande crise économique des derniers temps. Le Trichet (BCE) je me rappelle encore à en été 2008 en montant des taux d'intérêt pour "éviter des risques inflationnistes" quand déjà la Réserve Fédérale des EU injectait une liquidité à l'économie devant la démolition qui approchait. Tout un crack l'oncle. Et comme il les autres, les uns inutiles qui n'ont pas su ou n'ont pas voulu voir la crise économique qui venait dessus.
Mais fixe-toi quel curieux qui déjà en 2009 tous ceux-ci inutiles qui ont seulement pu nous compter le film dès qu'ils l'avaient vue, ceux-ci mêmes, reviennent à la charge avec tout un discours néolibéral (encore une fois) selon lequel la sortie de la crise passe inéluctablement par la perte de droits du travail des travailleurs et de travailleuses. Et ce que je ne comprends pas est vu pourquoi aujourd'hui le vu nous avons à donner un crédit aux prédictions de cette bande d'inutiles.
Il semble que les professionnels de l'économie ont un type il dispense entre la citoyenneté et sa crédibilité ne se trouve pas entamée par ses erreurs énormes. Incapables de réaliser un pronostic ils continuent d'avoir une légitimité pour réaliser les nouveaux pronostics qui deviennent les dogmes qu'il faut suivre.
Une organisation me vient à l'esprit seulement, celle qui est en grand partie aussi exempte de rendre des comptes par ses milliers de pronostics manqués : l'Église. Ses pronostics ne s'accomplissent jamais mais ils continuent de diriger "éternellement" ou d'essayer de diriger notre société. Et dessus ils veulent que nous leur fassions un cas.
Tontuna de fermeture : arrivé à ce point je crois que l'Économie Néolibérale a atteint un statut social "d'une semi-religion" que comme l'authentique, il semble qu'elle est exempte de rendre des comptes à la citoyenneté par ses erreurs. Les citadins nous avons déifié les prêtres de l'économie néolibérale et pareille il nous va.
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Güemes (PP) : “Je ne vais pas continuer de subventionner un centre qui prescrit seulement des pilules postcoitales”

"Je ne vais pas continuer de subventionner un centre qui prescrit seulement des pilules postcoitales".

Ce mensonge dit dans un siège parlementaire est celle qu'appuie le conseiller de Santé de la Communauté de Madrid Monsieur Güemes pour ordonner la fermeture du Centre de Jeune Santé de Rivas Vaciamadrid demain 31.12.2009. Cette réponse lamentable a été l'argument unique que le conseiller Güemes a pu utiliser à la réunion plénière de l'Assemblée de Madrid jeudi passé, 10 décembre devant les questions des groupes parlementaires de l'opposition.
Le Centre de Jeune Santé de Rivas Vaciamadrid (Madrid) s'est occupé dans sa première année de vie de 3500 consultations dans l'année qu'il porte en prêtant des services et a donné des cours d'instruction aux centres d'enseignement de la localité pour plus de 4500 étudiants.
Nous sommes devant une nouvelle attaque du Parti de droite dans son offensive générale contre la Santé publique madrilène. Tout ce qui se ressemble à une éducation sexuelle, à une attention sanitaire pour les jeunes hommes, une prévention de grossesses pas désirées etc. etc. etc. a les jours disposés du "libéral" Mme. Esperanza Aguirre (Présidente de la Communauté) et M. Güemes Consejero de Santé. Ils ne veulent pas d'avortement mais ils ne veulent pas non plus que les jeunes hommes connaissent et disposent des moyens pour éviter les grossesses pas désirées.
Les jeunes hommes de Rivas Vaciamadrid sont dans une lutte par son centre de santé. Ils ont réalisé quelques actions de protestation : des retraites, des manifestations et ils sont aujourd'hui disposés à s'enchaîner au centre si le personnel de la Communauté de Madrid commence son démantèlement.
La lutte des jeunes hommes de Rivas et la défense de la Santé publique dans madrid doit être la lutte de tous.
Dans cela web vous avez toute l'information sur le mouvement contre la fermeture du jeune centre de Rivas et les campagne d'appui qui se réalisent : http://jovenesrivas.wordpress.com/
Je vous laisse un vidéo qu'ils ont rendu la retraite et la concentration qu'il a eu lieu dans Rivas.

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"Notre vrai ennemi n'est pas celui qui vit dans une terre lointaine" (Mike Prysner)

Je veux jeter ce 2009 avec un post triste mais encourageant. C'est un vidéo avec le témoignage de MikePrysner, un vétéran de guerre de l'Irak et un activiste contre la guerre les EU. Le vidéo parle si le même mais j'aimerais signaler ce paragraphe :

“Notre vrai ennemi n'est pas celui qui vit dans une terre lointaine, dont les noms ou politiques nous ne connaissons pas, le vrai ennemi est un système qui fait la guerre quand il est rentable, les gérants qui nous jettent de nos postes quand il est rentable, les Compagnies d'assurance qui nous refusent l'attention de la santé quand il est rentable, les banques qui nous prennent nos foyers quand il est rentable. Nos ennemis ne sont pas à des centaines de milles de distance. Ils sont ici, en face de nous."

Le mouvement pacifiste aux États-Unis d'Amérique passe par de difficiles moments gráce à la déception qui a supposé la politique militaire du président Barak Obama. Cependant des vidéos comme cela me font penser qu'il y a un espoir pour la paix, parfois où moins l'un l'attend.
2010 HEUREUSE
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Ils nous aiment ilegalizar en République Tchèque (proposition de cyber-action)

De mauvais vents pour les communistes en République Tchèque. Après l'illégalisation des juventudes du parti maintenant le Sénat de la République Tchèque étudie l'illégalisation de la troisième force politique du pays, le Parti Communiste de la Bohême et de Moravia.
Le parti communiste est identifié par quelques cerises parce que la faucille et le marteau sont proscrits en Tchequie. Comme la nouvelle campagne est recueillie dans le Nouvel Herald ilegalizadora il est soutenu dans :

Les sénateurs insistent pour ce qu'existe un danger réel. Ils affirment que le Parti Communiste, le troisième dans une force dans le Parlement, continue d'être fidèle à la révolution antidémocratique et exigent que le parti soit interdit ou abandonne son soi-disant marxiste aux armes, qui va selon ceux-ci contre les postulats de la Constitution tchèque dont les partis politiques doivent renoncer à la violence.
Selon les lois tchèques, la cour a le pouvoir de rendre un parti illicite, mais seulement après une initiative du gouvernement ou du président. De manière que les sénateurs déposent son espoir du Premier ministre Jan Fischer, d'économiste et de l'ex-membre du Bureau de Statistiques pendant l'ère communiste que ses adhérents de neuf ans ont décrit dans le Parti Communiste comme l'une de ses "plus grandes erreurs". La fureur anticommuniste du sénateur qui est en tête de la campagne, Jaromir Stetina, de 66 ans, pourrait être étranger : sa grand-mère a été fondatrice du Parti Communiste Tchécoslovaque. Pero Stetina, un ex-correspondant de guerre, a affirmé que le Parti Communiste dans son actuel état est une relique dangereuse du passé.
"Nous croyons que le Parti Communiste doit être suspendu jusqu'à ce qu'ils renoncent à la description de communiste et dénoncent Marx et Lénine, ceux qui considéraient comme la violence un milieu légitime d'assumer le pouvoir", a-t-il dit Stetina. "Même les millions de cadavres que que les politiques de Lénine ont provoqué ils ont convaincu au Parti Communiste Tchèque de ce qu'il abandonne susenseñanzas". Stetina et sa commission ont révisé des douzaines de discours et des déclarations du parti en recherche des transgressions de la démocratie.

Toute une purge et auto de foi se réalise contre le parti communiste en République Tchèque. Tout un exemple de démocratie occidentale. Ce n'est pas l'exemple unique, la Pologne approuve aussi des lois de poursuite politique contre les symboles un siècle communiste. L'anticommunisme excelle par l'Europe.
Le Parti Communiste de la Bohême et de Moravia a le statut social d'observateur dans le Parti de la Gauche Européenne et il aborde 5 parlementaires dans le Groupe de Gauche Européenne - de Verder Nórdica Gauche dans le Parlement Européen.
Continuer...

Devant l'attaque à ces collègues tchèques je viens d'envoyer cet email que j'ai copié d'ici à l'ambassadeur de la République Tchèque en Espagne :

Ing. Karel BERAN, Ambassadeur de la République Tchèque dans le Royaume de l'Espagne et de la Principauté Andorra
madrid@embassy.mzv.cz
Un monsieur l'ambassadeur :
Nous le sollicitons d'une manière attentive et avec respect, il sert faire arriver au Gouvernement de la République Tchèque et à la Présidence du Sénat, mon souci en face d'un fait qui oppose avec les normes du droit démocratique général qui sont en vigueur dans la majorité des pays du monde, remarquablement celles qui sont en vigueur en République Tchèque.
Dans le Sénat de votre pays existent un groupe qui s'est constitué chez un ennemi de la liberté démocratique élémentaire, comme a succédé aux États-Unis avec tristement un cas célèbre du sénateur Joseph McCarthy, entre 1947 et 1957, celui qui a présidé la Sous-commission Permanente d'Investigations du Sénat. McCarthy est aujourd'hui motif d'honte pour les Institutions de son pays, par la poursuite anticommuniste dont il a fait un objet à de nombreuses personnalités, en transgressant l'éthique et le droit.
Dans le cas de la République Tchèque, le Sénat a créé une Commission temporelle pour l'examen de la constitutionnalité du Parti Communiste de la Bohême et de Moravia; la conduite de cette commission apporte à la mémoire le précédent néfaste déjà cité. Par exemple, cette commission considère que le PCBM doit être condamné pour partager la vision marxiste, en étant le marxisme une philosophie, une conception de l'univers et de la vie, pleinement reconnue et respectée dans le monde entier, inclus par ceux qui ne la partagent pas, avec l'exception unique des forces antidémocratiques les plus récalcitrantes. Comme il est facile de voir, l'anticommunisme du groupe de sénateurs tchèques partage la même base irraisonnable qui soutenait le groupe que McCarthy a commandé, avec un élément aggravant : qu'au moins dans le cas du sénateur par Wisconsin, on peut alléguer que c'était les temps de la Guerre Froide et que celle-ci générait un climat propice pour l'émoussement de l'intelligence, la pousse des mauvaises passions et les violations au droit et à la liberté démocratique. Ce n'est pas le cas aujourd'hui.
Je remercie pour son attention

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IU de la Navarre : vous m'avez réjoui le jour

L'autre jour j'ai lu que "Aralar invite IU à s'unir publiquement à Nafarroa Bai" et j'ai tordu le geste, pourquoi nous allons le nier. Heureusement la grimace m'a duré peu puisque j'ai rapidement lu que "IUN repousse l'invitation d'Aralar pour qu'il fasse une partie de NaBai et il lui rappelle qu'ils ne sont pas nationalistes".
Ole, ole et ole des collègues navarrais. Mieux seuls que diluez-vous dans qui il sait quelles macédoines de légumes de légumes d'idéologie diffuse.
Mes respects pour Naforra Bai et Aralar, mais je suis absolument d'accord avec IU la Navarre : le projet politique d'IU a à être autre. Et tout de suite s'il faut à parvenir à des accords parlementaires ou d'un gouvernement dans les sujets dans lesquels on peut convenir avec NaBai que la sécurité qu'ils sont assez.
Aurrerá Nafarroako Ezker Batua!
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Une cavalcade de Rois de Hortaleza

Je vois sur le canal d'youtube de ceronegativo cet entretien intéressant d'Yolanda Peña, l'une des lectrices du communiqué de la cavalcade de Rois Hortaleza.
Si vous voyez le vidéo, vous suivez le lien ou vous visitez la page de la cavalcade de rois vous pourrez savoir parce que dans Hortaleza il y a deux cavalcades ou parce que l'une a à être aujourd'hui.
Nous nous voyons dans la bonne cavalcade, celle des voisins, celle de toute la vie.
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Des images du monde après la pandémie de Grippe À

Ces images seraient celles qui auraient correspondu au monde après la Grippe si les pronostics pandémiques les plus pessimistes de l'OMS, des gouvernements, les autorités sanitaires et surtout les laboratoires étaient devenus une réalité :

Des photos EMPTYLA.
C'est évidemment une "anecdote", mais pour mon aujourd'hui c'est clair que la 'Grippe À' a été une campagne gigantesque pour terroriser (nous). La peur est l'une des armes les plus puissantes et aucun gouvernement ni autorité sanitaire n'échappe à son pouvoir.
Aujourd'hui personne ne parle déjà de la 'Grippe À'. Quelques cas mortels de grippe se sont malheureusement produits A. Non bien d'autres que ceux que la grippe "traditionnelle" provoquait comme j'ai compris. Pendant des mois nous avons supporté une campagne constante depuis les moyens et les institutions. Tous les jours nous avons écouté des décomptes de cas, des décomptes de morts, inventaire de mesures sanitaires... Tout une montagne mediática pour forcer depuis des gouvernements et des autorités sanitaires à prendre des actions poussés pour l'opinion publique. Et ce n'est pas innocent. Les gouvernements et les autorités sanitaires se sont trouvés pressées à l'acquisition de médicaments d'efficacité douteuse (Tamiflu) et de vaccins insuffisamment prouvées.
N'importe lequel qui voudrait chercher la main qui a bougé les fils de cette marionnette soupçonnerait trouver ceux qui ont bénéficié de tout cela : quelques entreprises pharmaceutiques.
Depuis ce blog nous essayons de sonner au calme et de mettre en évidence les données qu'ils pointaient que, après l'automne - l'hiver austral, la grippe A ne semblait pas si dangereuse. Il était pendant notre printemps et été. Rappelons ces recettes :

• Le mot pandémie
• Une opération pandémie H1N1
• Une grippe A/H1N1 : avant tout beaucoup de calme
• En démontant les desmontadores de la religieuse antibovine dans Le Pays. (Une grippe A)

Cette dernière entrée a eu un accueil virulent aux adeptes de la campagne de la terreur dans meneamé. Je suppose qu'aujourd'hui mangeraient plusieurs de ses mots. Il suffit bien que "fasse une promenade" par la presse un généraliste de ces jours pour observer la fraude gigantesque :

• La France offre un excédent de vaccins contre la grippe H1N1
• L'Espagne annule l'achat de 24 millions de vaccins de la grippe A
  
• La vaccination de la grippe échoue A

Je ne suis pas ami du délire conspiranoicos, mais c'est qu'il y a les fois que ce sont "une cible et dans une bouteille"...
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L'érotique du jugement sommaire : Velilla comme symptôme.

Vous rappellerez la polémique surgie quand les deux conseillers d'IU dans Velilla du Saint Antoin (Madrid 11.000 hab). ils décident d'entrer dans l'administration municipale de la municipalité avec le PP. Comme ils sont les conseillers d'IU de Velilla des cas présumés de corruption dénonçaient entre les files de parti socialiste espagnol dans l'administration municipale. Tous rappelons comment la machinerie antiIU d'UNE HÂTE s'est immédiatement jetée rouler au cri de : "tourne la pince!". Vous vous rappellerez comme Tomás Gómez (Secrétaire général du PSM), embourbé dans sa médiocrité comme homme politique alternatif à l'Espoir Aguirre, il a essayé de sortir un pétrole du cas et d'égratigner des votes d'IU à Madrid au cri mentionné de : "la pince!". Et aussi peut-être vous rappellerez comme Gregorio Gordo (le Coordonnateur d'IU Madrid) qu'il lui a répondu avec ce qu'il m'a semblé un : ZAS dans toute la bouche!".
Aujourd'hui je lis dans le blog "Qui il comprend beaucoup" qu'IU la Communauté de Madrid a fini la procédure interne contre les deux conseillers de Velilla et a décidé son expulsion de l'organisation. Tout a été fait en accomplissant nos statuts et avec les garanties nécessaires.
Je veux rappeler maintenant aux collègues de la même IU la Communauté de Madrid que, en démontrant un très haut degré de 'une imbécillité politique' et un certain manque de loyauté, un écho a voulu être fait dans ce sujet de la campagne "la pince" de parti socialiste espagnol et d'HÂTE.

Je veux aussi rappeler à ces collègues d'IU la Communauté de Madrid qu'ils ont exigé l'expulsion foudroyante des conseillers, sans écouter des statuts, tu ni garantissais. "Un jugement sommaire et expulsion de l'organisation" ils demandaient. Et je le reconnais, la justice sommaire, dans chaud, d'un pistolet dans la tempe et le coup de feu adroit il a son érotique. C'est une idée du grand magnétisme : l'oeil par oeil, le dent par dent, l'exécution dans chaud. Viscéral, quand le corps le demande. Mais je, que ces atavismes m'attirent aussi d'une certaine manière, sais plus à l'aise que je militte dans une organisation démocratique qui respecte les droits et les garanties de ses militants même quand il a à malheureusement les expulser.
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Ne lis pas ce blog, vois au cinéma à voir "le Capitalisme : une histoire d'amour".

Je le dis sérieusement, si te restent 7 Euros et tu as un petit peu il arrête de lire déjà ce blog, il ne vaut pas la peine. Mettez son veto au plus proche cinéma et te prépare-toi à jouir d'un film indispensable du génial Michael Moore.

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Effectivement Ceronegativo, un autre football est oui possible.

J'ai assisté à un curieux un débat épistolaire entre blogueros rouges en ce qui concerne un sujet pas trop commun : le football. La genèse de cette entrée est cette :

• En organisant la réponse.
• Ceronegativo.
• Depuis la carrière.
  
• À bloguear, à bloguear.
• Le fils Rojo.
  

Je suis de l'Athlétique de Madrid par une tradition familière maternelle. J'ai été associé de ce club (quand j'étais un club) pendant mon étape dans l'institut et je ne cache pas mes sympathies vers cette équipe. Des sympathies romantiques, comme que peuvent exister par un lieu ou époque chère mais passée. Je rappelle parfaitement Abel, Tomás, Juan Carlos, Solozabal, Ferreira, Juanito, Vizcaíno, Shuster, Manolo, Dandy, Donato, Baltazar... J'ai souffert et j'ai souffert avec dans Athlétique sur ce champ du Vicente Calderón, j'ai souffert dans mes viandes du baisé qui a été d'être à l'atleti les tristes jours de la cinquième du vautour. la domination dégoûtante du madridismo. D'alors je conserve mon aversion au Madrid Réel et à tout le relatif à ce club tout-puissant et impérialiste.
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Mais je me suis éloigné du football quand j'ai compris que ce n'est pas déjà un sport. Que le football dans un ressort gigantesque d'aliénation collective, d'intervention politique et d'affaires troubles économiques toujours de la main des personnages les plus gauches qui a accouché de la démocratie espagnole. Le football est aujourd'hui - il compte des années en l'étant - un grand retable national des merveilles auquel tous regardons comme con. Il ne vaut pas la peine simplement. Il ne vaut pas la peine de faire le bouillon gros à des personnages gauches et aux fascistes potentiels qui se servent du football pour étayer ses affaires et aspirations politiques. Il ne vaut pas la peine de s'identifier aux présidents ou aux penchants qui hébergent dans son sein des groupuscules fascistes. Il ne vaut pas la peine de s'identifier aux sociétés anonymes qui tels quels cherchent seulement le bienfait de ses actionnaires. Un oeil, que le bienfait se mesure pas seulement en comptes de résultats des S.A.D. ou encore pis, des 4 clubs qui existent encore. En définitive, il y a beaucoup d'années je me suis séparé du football et mon refus viscéral me reste seulement de cette époque vers le Madrid Réel.
Mais il regarde où oui qu'il y a une forme distincte de vivre le football, le FC St Pauli est un exemple. Du FC St. Pauli dit le wiki :

Il a été vers le milieu des 1980 quand le St. Pauli a commencé la transition d'un club traditionnel à un "Kult". Le club a aussi changé la situation de ses terrains de jeux au quai de St. Pauli, près du fameux Reeperbahn de Hamburgo, un centre de la vie nocturne de la ville et du quartier de Chine. D'une manière spontanée, ils ont surgi, les idéaux communistes et socialistes par lesquels on incline le club et l'atmosphère caractéristique de ses partis. Les supporters ont adopté le crâne avec os croisés comme son propre emblème pas officiel. Le St. Pauli est devenu la première équipe en Allemagne dans interdire officiellement l'idiología de droite et les activités nationalistes, dans une époque dans laquelle le fascisme inspirait le vandalisme dans le football.
En 2005 le club, l'équipe et les supporters ont commencé la campagne Vive avec l'eau de Sankt Pauli, avec laquelle reunó un argent pour des dispensateurs d'eau pour des écoles en Cuba.
Le FC. St Pauli jouit d'une certaine célébrité par le caractère d'Antifasciste de ses supporters : la plupart de supporters de l'équipe se considère comme eux mêmes comme antiraciste, antifascistes et antisexistes, et cela dans une occasion leur a apporté un conflit avec neo-nazis et hooligans. L'organisation a une posture ouverte contre le racisme, le fascisme, le sexisme, et l'homophobie et elle a incorporé cette position dans sa constitution. Les partisans de l'équipe participent traditionnellement à des manifestations dans le district de St. Pauli, y compris ceux-là sur le logement de bas revenus comme l'Hafenstraße et bambule. Le centre d'activité des fans est le Fanladen St. Pauli.

À un aujourd'hui je me considère seulement comme supporter du Fc St. Pauli et un peu d'antimadridiste. Le reste de football m'intéresse un sifflet et qu'ils l'interdisaient avec ses budgets indécents, ses nouveaux riches de jambes d'or, ses présidents populistes ou directement fascistes, ses ultras neonazis et ses milliers et les milliers de cumulus qui se manifestent aussitôt que son équipe baisse à la Deuxième Division mais non quand ils ferment l'usine dans laquelle ils travaillent ou découpent ses droits.
Il remarque des parents et des amis : XXL du Fc recevrait avec une grande allégresse un tee-shirt. St. Pauli. Ils sont achetés ici. Et ici le Facebook del St. Pauli.

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Le saucisson de Vic me s'est étranglé

Ce qu'il passe dans Vic ces jours est grave. La Mairie a décidé de ne pas recenser les personnes immigrantes qui n'ont pas de "papiers" dans une règle.
Une mesure honteuse qui rassasie d'un opprobre aux groupes politiques qui l'ont appuyée : CiU, PSC et ERC. Terrible: et encore PSC et ERC ont-ils l'effronterie d'être considéré des gauches ?
Empêcher le recensement de personnes, en plus d'illégal, est un attentat aux droits de l'homme. Empêcher le recensement signifie exclure totalement de notre société les personnes qui ont le malheur d'avoir à avoir échappé à la misère pour être illégaux dans notre pays. Sans recensement il n'y a pas de scolarisation pour les enfants et les petites filles; il n'y a pas de carte d'assuré social et c'est pourquoi il n'y a pas d'assistance gratuite; il n'y a pas de droit à des aides, tu n'existes pas, tu ne peux pas te régulariser, tu n'es pas personne.
Vic est l'exemple de ce qui peut arriver en grande partie de l'Espagne : le surfeando d'extrême-droite sur la vague de la xénophobie. Comme un résultat de cela l'opinion publique locale assume les thèses des ultra-droits pour être aussi finalement appuyé par les forces probablement démocratiques - catholiques comme CiU et probablement des gauches comme PSC et ERC. Il est très illustrant voir ce que les uns et les autres défendaient en 2003 dans Vic et ce qu'ils défendent aujourd'hui... C'est honteux, dégoût de pays.
J'édite 14/01/2010 18:11 : dans le blogs d'Angels vous avez un groupe de Facebook contraire à la mesure de la Mairie de Vic.
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Al-Qaeda et IU partagent des dirigeants : maintenant tout s'encastre

Par Javi.

Le Monde l'a découvert : selon le FBI, Ben Laden n'est pas autre que le député de Gauche Unie, Gaspar Llamazares. C'est une nouvelle Du Monde Today mais il le n'est pas.
Le gâteau a été découvert après avoir réalisé une simulation de comment ce serait aujourd'hui celui qui dirigeait les attentats aux Tours Jumelles, sans turban et avec quelques années plus dessus.
Le cercle s'est fermé, deux ans après qu'il était publié (dans des lieux aussi prestigieux que le forum d'adeptes de Gustavo Bueno …) que “l'idylle entre la gauche espagnole et l'islam consolide”, à la suite de quelques réflexions supposées de Gaspar Llamazares dans lesquelles il considérait la possibilité “d'embrasser la religion musulmane”.
Il paraît, en le filant l'un avec l'autre, qui n'aurait pas suffi à l'ex-coordonnateur d'IU de la pratique religieuse commune, mais il aurait opté pour l'admission aux files extrémistes du credo susdit, en se mettant à être à la tête de l'organisation terroriste yihadista.
La conspiration judeo-masónica-comunista reste officiellement abrogée, en entrant en vigueur la nouvelle trame révolutionnaire islamique - ecológica-comunista, en face de laquel la civilisation occidentale aura à opposer les valeurs du christianisme, du negacionismo avant le changement climatique et le capitalisme.

Je vais jeter un Civilization IV me

J'ai décidé de recommencer à tomber dans l'une de ma plus grande dépendance : le Civilization. Pour les motifs qui ne viennent pas au cas il m'a tourné à piquer le petit ver et j'ai épousseté mon Civilization IV qui ne frappait pas dès 2007.
Je vous préviens chers lecteurs parce que ce jeu est très absorbant et avec toute probabilité, mon activité blogueril (et familier et de travail et...) va se ressentir.
Je rappelle que ce jeu captivait aussi Ceronegativo …
Bon je leur laisse un temps dans une compagnie de mon collaborateur de luxe Le Fils Rouge. Je me jette dans des bras de ma drogue.
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Des raisons pour demander le traitement politique et pénal du Ministre et des Conseillers de Santé de l'Espagne par la gestion de la crise de la grippe A

Je veux me faire un écho d'un article publié par ‘J'équipe Cesca’ dans lequel s'exposent les raisons du traitement judiciaire du Ministre de Santé et des Conseillers de Santé en ce qui concerne la gestion de la GRIPPE À.
Il m'a semblé très intéressant. L'original ici.

Par Juan Gérvas, médecin générale, Equipo CESCA, Madrid
Dans Buitrago de Lozoya (Madrid) le 19 janvier 2010
www.equipocesca.org
Les faits
La pandémie de grippe A (au commencement “une grippe porcine”) s'est initiée en printemps 2009 au Mexique et à la fin d'un avril une phase d'alarme a donné un commencement avec des tentatives différentes de contention de sa diffusion. Sans succès, puisqu'en mai il y avait déjà des malades dans le monde entier, de l'hémisphère du nord (les EU, le Canada, l'Espagne et les autres) à l'hémisphère sud (l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Argentine et les autres). En juin on a déjà pu déterminer la légèreté de la pandémie de grippe A dans les pays développés comme l'Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande tant au sujet d'une mortalité comme morbidité (1,2). Au début d'un juillet une première projection de la mortalité a été publiée par grippe A dans Eurosurvillance (une revue scientifique de l'employé European Centre for Disease Prevention and Contrôle) par les hommes de science de la Nouvelle-Zélande dans laquelle on finissait que la mortalité était plus petite par la pandémie que par la grippe saisonnière (2).

Continuer...

À la fin d'un juillet et le premier août, en plein hiver austral, tous les pays de l'hémisphère sud coïncidaient dans des données de morbidité et de mortalité de la pandémie de grippe A très en bas de la grippe saisonnière de toutes les années. Par cela le signataire a pu publier et diffuser un texte le 10 août, avec données et avec le pronostic de basse mortalité et de morbidité, en demandant une sérénité et une tranquillité. Ce texte a été publié dans un quotidien El País le 14 août. Il a eu un écho mondial de manière que l'on traduisît le français, l'anglais, l'italien, le portugais et le russe et l'ensemble a été publié tel quel à la fin d'un septembre par Healthy Skepticism. La dernière version en castillan peut être consultée à la page de CESCA, où se trouve aussi une information abondante sur le vaccin antigrippe.
Le 28 août j'ai élaboré et j'ai diffusé un texte en forme d'une lettre ouverte au Ministre et aux Conseillers de Santé, pour les prévenir publiquement des erreurs qu'ils commettaient. Au bout d'un mois le Ministre a donné un accusé de réception. Le texte a eu un écho dans toute Espagne. À l'attitude de tranquillité et de calme l'Organisation Médicale Collégiale s'est ajoutée depuis une milieu d'août. Et au début d'un septembre un groupe qui est devenu de 200 blogs et des habitacles du mouvement. À l'appel au calme s'est aussi unie la Société Espagnole de Santé Publique et d'Administration Sanitaire et par la suite l'Association Espagnole de Pédiatrie et la Société Espagnole de Médecine de Famille.
Les différences entre les pronostics et la réalité ont été abyssales dans une mortalité; par exemple, en Nouvelle-Zélande de 18.000 morts prévus contre 17 décès dans la réalité (3). En Espagne, un mai à un août ils sont allés d'une alarme incroyable, avec un grand écho dans les médias et une politique “d'une transparence“ qui supposait dans la pratique l'analyse et la diffusion de données de vie et la mort de chaque cas par grippe A. Les différences ont aussi été abyssales dans une morbidité. Par exemple, entre 400 et 40.000 revenus d'UCI ont été calculés en Australie et en Nouvelle-Zélande, avec entre 106 et 28.000 patients qui auraient besoin d'une respiration mécanique, ce qui dépasserait les possibilités du système sanitaire (4). Dans la réalité c'était respectivement 722 et 456, facilement maniables par le système sanitaire (5). De nouveau en Espagne une politique “d'une transparence“ s'est aussi réalisée avec analyse je me marie à un cas des patients déposés aux UCI, avec une énorme alarme sur une "nouvelle" une pneumonie.
L'affectation de plus de jeunes hommes et plus embarrassées elle est seulement certaine dans le proportionnel, puisque avec la grippe A les personnes âgées ont moins une morbidité et une mortalité, par les défenses qu'ils conservent en face de ce virus, qui a circulé jusqu'à 1957. Mais dans des chiffres absolus la mortalité a été mineur que jamais. Le vaccin contre la grippe saisonnière a été inutile dans les pays de l'hémisphère sud (le nouveau virus A a déplacé presque complètement tous les autres) et un vaccin n'existait pas contre la grippe A, mais elle n'a pas non plus été nécessaire. Les pays de l'hémisphère sud ont eu une basse morbidité et une mortalité à la pandémie sans vacciner sa population contre la grippe A. Nous savions que le vaccin contre la grippe saisonnière a un bas caractère effectif, qu'il est seulement utile dans un tiers des patients et qu'est complètement inutile chez les enfants âgés de moins de deux années (6,7).
Nous savons aussi que des études n'ont jamais été faites à fond sur la durée des défenses qui génèrent les vaccins contre la grippe, ni sur les avantages et les inconvénients a long terme. De plus, nous savons que le virus de la grippe A peut provoquer par soi même les réponses immunitaires qui durent plus de 50 ans (8). Par tout cela il semblait raisonnable de ne pas vacciner contre la grippe A de (8,9). Nous savions que les antiviraux avaient une efficacité nulle ou peu abondante dans la prévention et le traitement de la grippe saisonnière et qu'ils ont des effets défavorables graves (10-13). L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a persisté dans son message d'alarme, inclus jusqu'à fin du 2009. Mais son crédit était nul, après la très grave erreur au sujet de la grippe des poules, en 2005, où il est arrivé à pronostiquer jusqu'à 150 millions de morts, contre un total 262 personnes décédées dans tout le monde (14).
Cette alarme a supporté la préparation de plans de réponse (une "éventualité) extraordinairement agressifs et elle a laissé à tous les pays avec la sensation de ce qu'arriverait tôt ou tard la pandémie de la grippe comme une peste (15). La pandémie est arrivée, mais d'une légèreté majuscule, et on à elle lui a répondu avec les plans de 2005, actualisés avec nombres également incroyables. Cependant la population européenne (et une espagnole) a parfaitement compris la situation et elle a repoussé la vaccination et le comportement suggéré de haute alarme. Malgré la basse taxe de vaccination contre la grippe A, la morbidité et la mortalité a été mineur que dans une épidémie de grippe saisonnière.
Nous ne connaissons pas les conditions du contrat avec les industries pour le vaccin contre la grippe A, mais elles doivent être si étrangères que le Ministre de Santé de la Pologne a nié à sa signature et à son achat par conseil de ses conseillers légaux. Dans le dernier trimestre de 2009 et dans le commencement de 2010 l'information sur la corruption a commencé à se diffuser autour de la réponse de l'OMS à la pandémie de grippe A dans des revues scientifiques (Science, British Medical Journal), la presse générale et même le Conseil de l'Europe. On accuse l'OMS et ses conseillers de collusion d'intérêts avec les industries.
La réaction du Ministre et des Conseillers de Santé de l'Espagne
Les faits commentés n'ont pas antérieurement modifié les plans d'éventualité adoptés en Espagne au début de la pandémie, en mai 2009 et jusqu'à la fin :
• des campagne de sensibilisation ont été réalisées à la population,
• des oeuvres ont été faites dans des hôpitaux et des centres de santé pour changer des urgences et UCI,
• on a modifié des formes de travail et une organisation de l'attention dans le système sanitaire,
• des millions de dose ont été acquis d'antiviraux (et son usage a été provoqué),
• on a acheté des millions de dose de vaccin contre la grippe A (et son administration a été provoquée),
• on a administré des millions de dose de vaccin contre la grippe saisonnière (dont les virus disparaissaient),
• des respirateurs ont été achetés,
• on a acquis des masques, des costumes jetables et d'autre matériel (qui a été distribué et dont l'usage a été provoqué),
• des normes ont donné aux entreprises conformément aux plans un type une grippe des poules
• la perte de travail de femmes enceintes saines a été provoquée dans des écoles et d'autres lieux
• etc.
Tout cela a débordé d'une dépense de centaines de millions d'euros, d'une situation sociale de crise économique, d'arrêt de 20 % de la population et avec un système sanitaire qui ne couvre même pas la santé dentaire. Pis, ces responsables politiques maintiennent qu'ils recommenceraient à faire ce qu'ils ont fait. Par tout cela je crois nécessaire et je provoque à un titre personnel le traitement politique et légal du Ministre et des Conseillers de Santé de l'Espagne par ses responsabilités probables dans une santé publique et dans le mauvais usage de débits publics. Même le changement du virus de la grippe A ou la présentation de vagues successives plus agressives de la même (improbables vue l'histoire des pandémies de grippe depuis le Moyen Âge) (16) ils justifieraient les plans et les actions entreprises puisqu'il obligerait tout cela à l'établissement d'autres plans.
Plus d'info : Le livre La santé qui vient. De nouvelles maladies et le marketing de la peur (la Péninsule, 2009) explique comment se développent les campagne de marketing de la peur comme celle de la grippe A.
Tu références 1. Nelly IL Y A. À pandemic response to à disease of predomintly seasonal intensity. MJA. 2010; 192:81-3. 2. Wilson N, Baker MG. The emerging influenza pandemic : estimating the mariez-lui fatality rate. Eurosurvillance. 2009; 14 (26) :pff=19255 3. Assessment of the 2009 influenza A (H1N1) pandemic on selected countries in the Southern hemisphere. L'Argentine, l'Australie, le Chili, New Zealand, l'Uruguay. Department of Health and US Department White House National Security Service. August 26, 2009. 4. Anderson TA, Hart GK, Kainer MA; ANZICS Database Management Committee. Pandemic influenza-implications for critical care resources in l'Australie and New Zealand. J Crit Care 2003; 18 : 173-180. 5. The ANZIC Influenza Investigators. Critical care services and 2009 H1N1 influenza in Autralia and New Zealand. N Engl J Med. 2009; 361:1925-34. 6. Simonsen L, Taylor RJ, Vibourd C et à. Mortality benefits of influenza vaccine in elderly people : an ongoing controversy. Lancet Infect Dis. 2007; 7:658-66. 7. Smith S, Demicheli V, j'ai Donné Pietrantonj C, Harden AR et à. Vaccines for preventing influenza in healthy children. Cochrane Database Syst Rev. 2008; (2) :CD004879. 8. Gérvas J, Wright J. Future of flu vaccines : Please, un mai we have à RTC now ? BMJ; 2009; 339:b4651. 9. Collignon PJ. Mass vaccination against swine flu : could it causez demeurez harm than good ? http://www.bmj.com/cgi/eletters/339/sep03_2/b3471#219801 10. Antiviraux dans la grippe : entre l'incertitude et l'urgence de la pandémie par le nouveau virus A/H1N1. Bulletí GROC. 2009; 22 (2). 11. Burch J, Corbett M, Stock C et à. Prescription of anti-influenza drugs for healthy adults : à systematic review and un but - analysis. Lancet Infec Dis. 2009; doi:10.1016/S1473-3099 (09) 70199-9. 12. Shun-Shin M, Thompson M, Heneghan C et à. Neuraminidase inhibitors for treatment and prophylasis of influenza in children : systematic review and un but - analysis of randomized controlled trials. BMJ. 2009; 339; b3172. 13. Kitching A, Roche A, Balasegaran S et à. Oseltamivir adherence and side effects among children in three Londres schools affected by influenza A (H1N1), Mai 2009. An Internet based cross sectional survey. Eurosurvillance 2009; 29:1-4. 14. Bonneux L, Damme WV. An iatrogenic pandemic of panic. BMJ. 2006; 332:786-8. 15. Des ariennes P. L'éthique pendant les crises sanitaires. À propos de la pandémie par le virus H1N1. Rev Esp Salud Public. 2009; 83:448-91. 16. Un brun DM, Taubenberger JK. Understanding influenza backward. JAMA. 2009; 302:679-80.

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Une Eurovision 2010

Par Javi
Nous allons élever le niveau d'érudition de ce blog en parlant d'un sujet d'hauteur mouillée intellectuelle comme c'est le festival de la chanson européenne.
Rappelons que, après avoir mené en envoyant à l'Eurovision truño après truño depuis que la mémoire m'atteint, l'année passée RTVE a donné l'occasion aux sujets du Royaume de l'Espagne de décider à qui d'envoyer au concours pelliculeux.
Aussi comme il succède dans les élections législatives, les sujets ont majoritairement voté pour ceux qui il leur a été indiqué qu'ils votaient depuis les grandes entreprises de communication. L'option proposée, Roberto Chikilicuatre, était originale et amusante. La télévision espagnole, consciente dont le porter à l'Eurovision pourrait marquer quelques cotes de popularité historiques, a aplani le terrain pour qu'il emportât à un effet.
Certes que cela a beaucoup fâché quelques êtres d'apparence humaine connus comme “les eurofans”, chose qui a énormément réjoui un serviteur, qui soupçonne depuis un temps que “les eurofans” ne sont pas mais des monstres étranger au service de Xenu.
RTVE a répété une formule cette année, et Telecinco a décidé d'être cette fois qui faisait l'accouchée de proposer un personnage aberrant (en somme à Karmele Marchante) comme représentant du Royaume. Il ne comptait pas plus la chaîne que préside Alejandro Echavarría avec qui un TVE ne leur suivrait pas la grâce : en interprétant strictement une série de normes, la chaîne publique a chargé la candidature de Karmele (qui était jusqu'à présent avec la différence la plus votante) et avec elle a aussi chargée celle du grand Chimo Bayo, qui ne disposait pas de la faveur de l'oligarchie mediática.
Cela a une grande importance : éliminer Karmele est comment tant ilegalizar les candidatures du PPSOE. Maintenant les sujets sont nerveux, ont plus de liberté qu'ils peuvent faire des démarches et ils ne savent pas ce que faire avec elle.
Des sujets du Royaume de l'Espagne, ne vous préoccupez pas, qu'ici nous sommes pour, depuis l'arrière-garde du prolétariat, organiser une réponse : votez Au Mamelon Rouge.
Pourquoi ? Donc parce que des cinq candidats les plus votants qui restent après la grande purge, il y a trois triunfitos des méchants (valez la redondance) et d'une fille que je ne sais pas qui est mais dont la chanson est un truño qui nous évoque à d'autres truños eurovisivos précédents comme ceux “d'Ils Sont du Soleil”, “Lydia“ ou “Marcos Llunas“.
Celle de Mamelon Rouge est amusée, original et se permet d'écouter. Avec elle nous ne gagnerons pas d'Eurovision, mais ni l'envie que nous avons de le faire.

Un cours d'éthique journalistique

Par Javi (une idée originale d'Ivan Rouge dans ForoIU)
Reprenons par une minute cette section magnifique du CQC dans laquelle Juanjo de l'Église analysait les titulaires de la presse qui transmettaient les choses d'une forme si tordue qui, qui ne lisait pas le contenu avec attention, un bien pourrait penser que succédait le contraire à ce qu'en réalité il passait.
L'ABC obtient un titre ainsi, à la suite de la position d'IU par rapport à la Mairie de Torrejón, qui se refusait jusqu'à des dates récentes à recenser des étrangers dans une situation irrégulière :
“ IU regrette que Torrejón ait seulement rectifié porté par "l'alarme sociale".
Si l'un ne connaissait pas la posture d'IU, un bien pourrait penser par le titulaire que celle-ci une organisation regrette que la Mairie de Torrejón rectifie dans sa posture, et que de plus il le rend porté par quelque chose de si banal comme “l'alarme sociale”.
Un titulaire plus correct aurait été donc un peu tel que :
“IU se félicite par la rectification de Torrejón en ce qui concerne le recensement d'irréguliers”.
Si ce n'est que … si ce n'est que l'ABC ne cherchait à donner une image insensible et déraisonnable d'IU, en la présentant comme une organisation qui applaudit le traitement inhumain aux étrangers dans une situation irrégulière. Si c'était le cas, nous recommandons un titulaire comme que suit :
“IU change le poing en hauteur pour le bras étendu : sieg heil!”
Le Cours d'Éthique journalistique se limite à recommander, comme il est habituel, le deuxième titulaire, et plus dans celles-ci tu dates où, comme il prédisait bien Fontdevilla, le melon de la xénophobie a été officiellement ouvert.

Je pars avec la voiture pour Seseña

Pour des motifs différents je ne peux pas faire la marche avec Ceronegativo mais je vais prendre la voiture et je vais sortir à la rencontre avec les collègues et collègues pour, au moins, leur faire arriver mon appui et mon affection un ratejo.
Je pars avec le pèche pour qu'ils apprennent que dans cela une vie leur reste beaucoup pour lutter pour un monde plus digne.
À la marche contre la corruption puisque.
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Un orgueil d'être à IU (Seseña)

Elles sont ce que je sens en voyant les collègues et des collègues marcher vers Madrid en réclamant qui se termine avec la corruption que des derniers temps une espagnole enveloppe une partie de la "chose publique".

Une grande marche été en tête par Manuel Fuentes tout un exemple de dignité et d'honnêteté à la tête d'une Mairie et en face du pouvoir un spéculateur et corrompu du secteur immobilier.

Suivez attentifs le blog de Ceronegativo, le blog de Pierre Mellado et ce blog où se pendront des vidéos et des photos comme il est déjà habituel.
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Il marche contre la corruption : Jorge Vega, Secrétaire général du PCE-PCCM

Je vois sur le canal d'Youtube de ceronegativo ce morceau de vidéo il interviewe à l'Entretien avec Jorge Vega, Secrétaire général du PCE-PCCM, dans la première journée de la Marche contre Corruption (30/01/2010) un coteau des Anges (Getafe).

Plus d'information sur le premier jour de la marche :
* La première journée de la “Marche contre la corruption”
* De premières photos la marche contre la corruption
* Il marche contre la Corruption : Un vidéo de la sortie de Seseña
* L'athénée plein par la marche contre la corruption.
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La semaine rouge de Viul (24.01.2010)

Tard j'arrive à publier la semaine rouge de l'une des valeurs dans une hausse du blogosfera rouge. Il vaut plus tard que...

La Semaine Rouge est comme le Guadiana, apparaît et disparaît selon son caprice. Pour le moment, il recommence à apparaître. Et curieusement, il apparaît dans la semaine que l'un des blogueros les plus importants de la gauche politique, annonce qu'il disparaît temporairement. Comme il est un oncle de mot, nous savons que son je "reviendrai" il s'accomplira et plus tôt qu'il tarde nous (attendons), il recommencera à partager avec nous ses réflexions.

Continuer...

Pendant ce temps, l'autre qui recourt à la mode guadianil, est celui qui écrivait avant chez le fils rouge, qui maintenant nous enchante avec ses réflexions chez des zéros. Sa deuxième réflexion dans un proverbe blog, dans une ligne avec ce qu'il a l'habitude d'écrire, va sur un sujet si important comme peu traité : une eurovision. Si tu révises les blogs d'iloveiu, il n'a pas pas tout à fait écrit sur le sujet avec tant de qualité.
Une prise de courant nous alertait cette semaine sur la croissance d'un nouveau type de terrains vagues horribles, les terrains vagues en ciment. Il n'avait pas entendu parler de ce sujet, mais je crois qu'il mérite une réflexion plus sérieuse de notre part.
Dans des mouches dans la soupe on réfléchissait aux gourous de l'économie. Les mêmes qui n'ont pas vu la récession économique, et qui donnent maintenant des recettes pour sortir d'elle.
Inés, l'une de nos députées blogueras, écrivait tranquillement, je calme et beaucoup de connaissance, sur la polémique des derniers jours mise en rapport à l'immigration, au recensement et les mairies déterminées qu'il leur plaît sauter la loi. Dans l'optimisme de la volonté ils nous considéraient quelque chose comme très nouveau dans IU, une nouvelle publiée dans un moyen de communication qu'il parle de nous, et il dit quelque chose qui n'est pas vrai. Je crois qu'il est convenable de le détacher ici pour que tout le militantisme connaisse ce cas. L'un de nos blogueros les plus anticléricaux, dans l'un de ses blogs multiples, nous informe d'une découverte de caractère biblique.Otro bloguero qui écrit comment la rivière qu'il passe par l'Estrémadure, nous enchante cette semaine avec un écrit à une allure moyenne entre le twitter et un post. Un nouveau genre ? Vous allez savoir. Ceronegativo nous informe que le parti socialiste espagnol n'est pas très conformément à la marche contre la corruption qu'IU organise. Je porte depuis le jour que je l'ai lu, en cherchant une information pour lui dire qu'il est erroné. Comment allait être un parti contre une marche qui dénonce la corruption ?. Mais je n'ai encore rien trouvé. Pour finir, Angels nous informait le primerita, que J.J. Nuet, un surnom senator, avait été élu secrétaire général du PCC.Enhorabuena aux deux, à l'une par le primeur, et à l'autre par sa nouvelle responsabilité. Espérons que Nuet est invité un jour à une tige avec une ration de caillettes à la madrilène pour le célébrer.

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Et le 'joputa' de ZP arrive et un bon post me baise...

Comme il me gêne d'avoir un post moyen perjeñado et qu'un 'joputa' venge (un mot très dans un usage ces jours dans la Communauté de Madrid) et me le jorobe. Puisque M. Président Rodriguez Zapatero a fait cela la semaine passée fíjesensé vous.
Je lisais que les britanniques avaient approuvé la retraite à 67 ans (la chose qui m'a produit un frisson) et tout de suite j'ai commencé à donner une forme à une idée. La chose était plus ou moins ainsi : "si tu vois voter le PP à plus grand quelqu'un de 60 ans tu peux cagarte chez ses morts".
Il allait argumenter le tontuna sur le fait qu'en Espagne seulement le PP avait osé poser des mesures pareilles et sur la haine viscérale que des pensionnaires ou des quasipensionnaires me produiraient en touchant les pensions auxquelles je participe activement aujourd'hui mais en votant ceux qui ne me laisseront pas les avoir à mon matin.
Et alors Rodriguez Zapatero arrive et si 'troupe' tragi-comique et ils nous cassent une proposition - sonde pour monter l'âge de mise à la retraite à 67. Hale mon post aux ordures!
Et c'est que ce pauvre, je me réfère ZP, fait des concours à un cadavre politique. Avec l'économie encore en hibernant, avec 4 millions et bec d'arrêtés, avec le patronat sans aucune envie d'investir un centime, avec les budgets d'État en grinçant, en définitive : avec le gouvernement en pendant à un fil. Et alors c'est lui qui arrive et il met un bâton aux travailleurs et aux travailleuses et aux syndicats. Une grève générale est gagnée à un pouls, les syndicats ont chaque fois moins d'excuses pour ne pas la convoquer, et Rajoy une reclaudication le fruit mûr d'un gouvernement pseudosocialiste dans une décomposition. En fumant un cigare certes, parce qu'il ne donne pas non plus plus pour.
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La semaine rouge d'Angels

Angels dit dans son blog :

Je recueille le témoignage de Viul dans une semaine rouge qui est restée résumée, en fait, à un long week-end intense dans lequel ressortent trois éléments fondamentaux :
- la folie (qui semble déjà irréversible) du Conseil des ministres et des mesures “elucubradas” vendredi passé;
- la marche contre la corruption de Seseña à Madrid;
- et le Forum Social célébré à Madrid et à Barcelone avec participation de distint@s compañer@s d'IloveI. Cependant, le premier sujet emporte la plupart de commentaires :
L'épisode demencial du gouvernement.
Les mesures vendredis du Conseil des ministres crient au ciel. Déjà mercredi notre ami bloguero RGAlmazá n nous avançait depuis son Kabila les désirs de la patronale, des mutualités de sécurités et : comment non! de la banque d'Espagne, dans : Allez trois pattes sur une banque!. Et celui qu'il prévient n'est pas traître, parce que vendredi ces désirs pervers se sont accomplis en grand partie. À des peu d'heures du bruit de casse, dans les Mouches dans la Soupe les couleurs le sortaient au ministre Corbacho, une montre à une main :“ Quatre et vingt et Corbacho sans démissionner”. De sa part, Hugo a aussi traité du sujet en terminant avec un avis tranchant pour des navigateurs et en affirmant que le parti socialiste espagnol est d'une manière suicidaire, tandis qu'Alberto Garzón se renverse dans la pédagogie et il se demande socratiquement: Vraiment les pensions sont-elles dans un danger ?. Dès le Pays Basque, Mikel Arana, voit de plus en plus d'arrière-plan l'âge de mise à la retraite, et peut-être, à la manière d'un résumé, pouvoir proposer l'opinion d'Antonio Rodríguez dans le sens où, de suivre ainsi les choses, la sortie de la crise ne sera pas sociale.
Déjà je sais, ou bien je sais que le droit vendredi et le sujet des pensions a emporté la moitié de la sélection (et je suis encore resté avec envies de citer otr@s compañer@s, donc je leur recommande une promenade l'agregador d'IloveIU), mais plus on veut porter le Gouvernement de nos droits …
Cependant, une marge reste pour faire la sélection des blogs qui traitent les autres deux sujets qu'il annonçait :

Sur la marche contre la corruption :
Une Gauche Unie a aussi su ce week-end sortir une poitrine, dénoncer la corruption sans cheveux dans la langue, et défendre Manuel Fuentes, maire de Seseña, bien que certains ont utilisé inclus Facebook (selon un compte Pierre Mellado) pour s'opposer avec trop de grâce piquante et pour faire le portrait dans un sépia entre de ceux qui n'appuyaient pas la marche ni à Manuel Fuentes.
Cependant, la convocation a été un succès, comme il l'évalue aussi le propre Manuel Fuentes interviewé dans le blog de ceronegativo, qui a attendu bref laisse une constance de comment cela a rempli demain l'Athénée jusqu'au drapeau (dans ce cas, rouge et républicaine). Une invitation aimable à sentir l'orgueil à être à IU nous la trouvons aussi, avec photos de la marche, chez des zéros.
Un forum Social à Madrid et à Barcelone :
À une côte, aussi de pécher par l'orgueil (mais ils savent déjà, que s'il y a quelque chose de bon, sûr que quelqu'un ajoute du poivre lui en disant que c'est un péché), je ne peux pas arrêter de recommander La Voleuse, où Toni Barbarà explique l'atelier de santé dans le FSCat, et il célèbre que l'association de citadins et de citadines Dempeus per le Salut Pública (qu'une bonne guerre a donné malgré son âge petit) accomplit aujourd'hui, le 31 janvier, sa première année de vie. Et bien qu'il paraisse à un taureau passé, on ne perde pas non plus le vidéo promotionnel du Forum Social de Madrid qu'ils peuvent voir dans Le blog de dAv! d. Ce qui est dénoncé dans le même n'a pas, pour le moment, de date limite de consommation.
Et comme nous ne pouvons pas oublier de l'Haïti, je les laisse avec la recette d'un gâteau succulent solidaire fait par David Montilla (que je sais, rien à voir du President) et son fils.
Et la semaine prochaine, plus et mieux, dans Kabila.

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Íve seen things

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IUN-NEB : une résolution qui m'attriste et elle me déçoit

Par Javi
La dernière fois que j'ai parlée dans ma maison précédente sur une fédération de Gauche Unie je l'ai fait sur IUN-NEB. Dans cette occasion il applaudissait celle qui considérait une décision (celle d'integrase dans Na-Bai) basé sur quelques “paramètres simples, clairs et sensés”.
Je recommence aujourd'hui à parler d'IUN-NEB, mais celle-ci une fois, malheureusement, pour exprimer ma tristesse profonde et déception par une “la résolution sur la Cuba” (que comme il paraît ils ont élevé de plus au Parlement navarrais).
Les collègues navarrais partagent la simplicité expositive de ces manifestations sur Na-Bai, mais ils ont perdu bien sûr la clarté et le bon sens.
Il m'attriste parce qu'il me semble réellement désolant que des collègues provoquent ou votent en faveur d'une résolution sur la Cuba si générique qu'il pourrait la voter à une faveur jusqu'à l'Espoir Aguirre. Il se passe de l'analyse la plus minimale … ni rigoureux ni peu rigoureux : aucune analyse d'aucun type, de seulement une déclaration générique qui fait impossible de comprendre quelle étendue il a ou dans quoi il se limite.
Des concepts comme la "liberté", “les droits civils“, “la citoyenneté” ou les "droits de l'homme" doivent être contextualizados, parce que comme notions spécialement abstraites et malléables ils peuvent faire une référence aux choses qui sont, en définitive, opposées.
Tout le monde peut connaître, pour déplacer l'exemple à notre État, qui quand un leader parle le PP basque de la pleine réalisation des Droits de l'homme à l'Euskadi parle d'emprisonner des gens pour se réunir dans le siège de LAB pour être politiquement organisé; en revanche quand Ezker Batua parler de la pleine réalisation des DDHH à l'Euskadi parle justement dans le cas contraire. Rendrait-il Ezker Batua une résolution sur la situation des DDHH à l'Euskadi qui était asumible par Basagoiti ? Évidemment non. Ils diraient sûrement, avec toute la raison : “il consiste en ce que quand toi et moi parlez des Droits de l'homme, monsieur du PP, nous parlons des choses distinctes, dès que je vais être très concret”.
Il disait au commencement que, à une partie, de m'attrister, il me trompe aussi : comme je lis il y a après la résolution des gens intelligents qui me sont étonnés qu'il n'ait pas pu faire quelque chose mieux. Personnellement, s'il voulait posicionarme sur le sujet d'une forme raisonnable, mieux il aurait donné une forme de résolution à l'article de Hugo Martínez Abarca (une entrée que oui qui exprime de bonnes idées de forme simple, claire et sensée, et qui peut être assumé de plus – crois-je - à la majorité des personnes que nous faisons une partie de cette organisation).