Friday, March 12, 2010

Des raisons pour demander le traitement politique et pénal du Ministre et des Conseillers de Santé de l'Espagne par la gestion de la crise de la grippe A

Je veux me faire un écho d'un article publié par ‘J'équipe Cesca’ dans lequel s'exposent les raisons du traitement judiciaire du Ministre de Santé et des Conseillers de Santé en ce qui concerne la gestion de la GRIPPE À.
Il m'a semblé très intéressant. L'original ici.
Par Juan Gérvas, médecin générale, Equipo CESCA, Madrid
Dans Buitrago de Lozoya (Madrid) le 19 janvier 2010
www.equipocesca.org
Les faits
La pandémie de grippe A (au commencement “une grippe porcine”) s'est initiée en printemps 2009 au Mexique et à la fin d'un avril une phase d'alarme a donné un commencement avec des tentatives différentes de contention de sa diffusion. Sans succès, puisqu'en mai il y avait déjà des malades dans le monde entier, de l'hémisphère du nord (les EU, le Canada, l'Espagne et les autres) à l'hémisphère sud (l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Argentine et les autres). En juin on a déjà pu déterminer la légèreté de la pandémie de grippe A dans les pays développés comme l'Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande tant au sujet d'une mortalité comme morbidité (1,2). Au début d'un juillet une première projection de la mortalité a été publiée par grippe A dans Eurosurvillance (une revue scientifique de l'employé European Centre for Disease Prevention and Contrôle) par les hommes de science de la Nouvelle-Zélande dans laquelle on finissait que la mortalité était plus petite par la pandémie que par la grippe saisonnière (2).
Continuer...


À la fin d'un juillet et le premier août, en plein hiver austral, tous les pays de l'hémisphère sud coïncidaient dans des données de morbidité et de mortalité de la pandémie de grippe A très en bas de la grippe saisonnière de toutes les années. Par cela le signataire a pu publier et diffuser un texte le 10 août, avec données et avec le pronostic de basse mortalité et de morbidité, en demandant une sérénité et une tranquillité. Ce texte a été publié dans un quotidien El País le 14 août. Il a eu un écho mondial de manière que l'on traduisît le français, l'anglais, l'italien, le portugais et le russe et l'ensemble a été publié tel quel à la fin d'un septembre par Healthy Skepticism. La dernière version en castillan peut être consultée à la page de CESCA, où se trouve aussi une information abondante sur le vaccin antigrippe.
Le 28 août j'ai élaboré et j'ai diffusé un texte en forme d'une lettre ouverte au Ministre et aux Conseillers de Santé, pour les prévenir publiquement des erreurs qu'ils commettaient. Au bout d'un mois le Ministre a donné un accusé de réception. Le texte a eu un écho dans toute Espagne. À l'attitude de tranquillité et de calme l'Organisation Médicale Collégiale s'est ajoutée depuis une milieu d'août. Et au début d'un septembre un groupe qui est devenu de 200 blogs et des habitacles du mouvement. À l'appel au calme s'est aussi unie la Société Espagnole de Santé Publique et d'Administration Sanitaire et par la suite l'Association Espagnole de Pédiatrie et la Société Espagnole de Médecine de Famille.
Les différences entre les pronostics et la réalité ont été abyssales dans une mortalité; par exemple, en Nouvelle-Zélande de 18.000 morts prévus contre 17 décès dans la réalité (3). En Espagne, un mai à un août ils sont allés d'une alarme incroyable, avec un grand écho dans les médias et une politique “d'une transparence“ qui supposait dans la pratique l'analyse et la diffusion de données de vie et la mort de chaque cas par grippe A. Les différences ont aussi été abyssales dans une morbidité. Par exemple, entre 400 et 40.000 revenus d'UCI ont été calculés en Australie et en Nouvelle-Zélande, avec entre 106 et 28.000 patients qui auraient besoin d'une respiration mécanique, ce qui dépasserait les possibilités du système sanitaire (4). Dans la réalité c'était respectivement 722 et 456, facilement maniables par le système sanitaire (5). De nouveau en Espagne une politique “d'une transparence“ s'est aussi réalisée avec analyse je me marie à un cas des patients déposés aux UCI, avec une énorme alarme sur une "nouvelle" une pneumonie.
L'affectation de plus de jeunes hommes et plus embarrassées elle est seulement certaine dans le proportionnel, puisque avec la grippe A les personnes âgées ont moins une morbidité et une mortalité, par les défenses qu'ils conservent en face de ce virus, qui a circulé jusqu'à 1957. Mais dans des chiffres absolus la mortalité a été mineur que jamais. Le vaccin contre la grippe saisonnière a été inutile dans les pays de l'hémisphère sud (le nouveau virus A a déplacé presque complètement tous les autres) et un vaccin n'existait pas contre la grippe A, mais elle n'a pas non plus été nécessaire. Les pays de l'hémisphère sud ont eu une basse morbidité et une mortalité à la pandémie sans vacciner sa population contre la grippe A. Nous savions que le vaccin contre la grippe saisonnière a un bas caractère effectif, qu'il est seulement utile dans un tiers des patients et qu'est complètement inutile chez les enfants âgés de moins de deux années (6,7).
Nous savons aussi que des études n'ont jamais été faites à fond sur la durée des défenses qui génèrent les vaccins contre la grippe, ni sur les avantages et les inconvénients a long terme. De plus, nous savons que le virus de la grippe A peut provoquer par soi même les réponses immunitaires qui durent plus de 50 ans (8). Par tout cela il semblait raisonnable de ne pas vacciner contre la grippe A de (8,9). Nous savions que les antiviraux avaient une efficacité nulle ou peu abondante dans la prévention et le traitement de la grippe saisonnière et qu'ils ont des effets défavorables graves (10-13). L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a persisté dans son message d'alarme, inclus jusqu'à fin du 2009. Mais son crédit était nul, après la très grave erreur au sujet de la grippe des poules, en 2005, où il est arrivé à pronostiquer jusqu'à 150 millions de morts, contre un total 262 personnes décédées dans tout le monde (14).
Cette alarme a supporté la préparation de plans de réponse (une "éventualité) extraordinairement agressifs et elle a laissé à tous les pays avec la sensation de ce qu'arriverait tôt ou tard la pandémie de la grippe comme une peste (15). La pandémie est arrivée, mais d'une légèreté majuscule, et on à elle lui a répondu avec les plans de 2005, actualisés avec nombres également incroyables. Cependant la population européenne (et une espagnole) a parfaitement compris la situation et elle a repoussé la vaccination et le comportement suggéré de haute alarme. Malgré la basse taxe de vaccination contre la grippe A, la morbidité et la mortalité a été mineur que dans une épidémie de grippe saisonnière.
Nous ne connaissons pas les conditions du contrat avec les industries pour le vaccin contre la grippe A, mais elles doivent être si étrangères que le Ministre de Santé de la Pologne a nié à sa signature et à son achat par conseil de ses conseillers légaux. Dans le dernier trimestre de 2009 et dans le commencement de 2010 l'information sur la corruption a commencé à se diffuser autour de la réponse de l'OMS à la pandémie de grippe A dans des revues scientifiques (Science, British Medical Journal), la presse générale et même le Conseil de l'Europe. On accuse l'OMS et ses conseillers de collusion d'intérêts avec les industries.
La réaction du Ministre et des Conseillers de Santé de l'Espagne
Les faits commentés n'ont pas antérieurement modifié les plans d'éventualité adoptés en Espagne au début de la pandémie, en mai 2009 et jusqu'à la fin :
• des campagne de sensibilisation ont été réalisées à la population,
• des oeuvres ont été faites dans des hôpitaux et des centres de santé pour changer des urgences et UCI,
• on a modifié des formes de travail et une organisation de l'attention dans le système sanitaire,
• des millions de dose ont été acquis d'antiviraux (et son usage a été provoqué),
• on a acheté des millions de dose de vaccin contre la grippe A (et son administration a été provoquée),
• on a administré des millions de dose de vaccin contre la grippe saisonnière (dont les virus disparaissaient),
• des respirateurs ont été achetés,
• on a acquis des masques, des costumes jetables et d'autre matériel (qui a été distribué et dont l'usage a été provoqué),
• des normes ont donné aux entreprises conformément aux plans un type une grippe des poules
• la perte de travail de femmes enceintes saines a été provoquée dans des écoles et d'autres lieux
• etc.
Tout cela a débordé d'une dépense de centaines de millions d'euros, d'une situation sociale de crise économique, d'arrêt de 20 % de la population et avec un système sanitaire qui ne couvre même pas la santé dentaire. Pis, ces responsables politiques maintiennent qu'ils recommenceraient à faire ce qu'ils ont fait. Par tout cela je crois nécessaire et je provoque à un titre personnel le traitement politique et légal du Ministre et des Conseillers de Santé de l'Espagne par ses responsabilités probables dans une santé publique et dans le mauvais usage de débits publics. Même le changement du virus de la grippe A ou la présentation de vagues successives plus agressives de la même (improbables vue l'histoire des pandémies de grippe depuis le Moyen Âge) (16) ils justifieraient les plans et les actions entreprises puisqu'il obligerait tout cela à l'établissement d'autres plans.
Plus d'info : Le livre La santé qui vient. De nouvelles maladies et le marketing de la peur (la Péninsule, 2009) explique comment se développent les campagne de marketing de la peur comme celle de la grippe A.
Tu références 1. Nelly IL Y A. À pandemic response to à disease of predomintly seasonal intensity. MJA. 2010; 192:81-3. 2. Wilson N, Baker MG. The emerging influenza pandemic : estimating the mariez-lui fatality rate. Eurosurvillance. 2009; 14 (26) :pff=19255 3. Assessment of the 2009 influenza A (H1N1) pandemic on selected countries in the Southern hemisphere. L'Argentine, l'Australie, le Chili, New Zealand, l'Uruguay. Department of Health and US Department White House National Security Service. August 26, 2009. 4. Anderson TA, Hart GK, Kainer MA; ANZICS Database Management Committee. Pandemic influenza-implications for critical care resources in l'Australie and New Zealand. J Crit Care 2003; 18 : 173-180. 5. The ANZIC Influenza Investigators. Critical care services and 2009 H1N1 influenza in Autralia and New Zealand. N Engl J Med. 2009; 361:1925-34. 6. Simonsen L, Taylor RJ, Vibourd C et à. Mortality benefits of influenza vaccine in elderly people : an ongoing controversy. Lancet Infect Dis. 2007; 7:658-66. 7. Smith S, Demicheli V, j'ai Donné Pietrantonj C, Harden AR et à. Vaccines for preventing influenza in healthy children. Cochrane Database Syst Rev. 2008; (2) :CD004879. 8. Gérvas J, Wright J. Future of flu vaccines : Please, un mai we have à RTC now ? BMJ; 2009; 339:b4651. 9. Collignon PJ. Mass vaccination against swine flu : could it causez demeurez harm than good ? http://www.bmj.com/cgi/eletters/339/sep03_2/b3471#219801 10. Antiviraux dans la grippe : entre l'incertitude et l'urgence de la pandémie par le nouveau virus A/H1N1. Bulletí GROC. 2009; 22 (2). 11. Burch J, Corbett M, Stock C et à. Prescription of anti-influenza drugs for healthy adults : à systematic review and un but - analysis. Lancet Infec Dis. 2009; doi:10.1016/S1473-3099 (09) 70199-9. 12. Shun-Shin M, Thompson M, Heneghan C et à. Neuraminidase inhibitors for treatment and prophylasis of influenza in children : systematic review and un but - analysis of randomized controlled trials. BMJ. 2009; 339; b3172. 13. Kitching A, Roche A, Balasegaran S et à. Oseltamivir adherence and side effects among children in three Londres schools affected by influenza A (H1N1), Mai 2009. An Internet based cross sectional survey. Eurosurvillance 2009; 29:1-4. 14. Bonneux L, Damme WV. An iatrogenic pandemic of panic. BMJ. 2006; 332:786-8. 15. Des ariennes P. L'éthique pendant les crises sanitaires. À propos de la pandémie par le virus H1N1. Rev Esp Salud Public. 2009; 83:448-91. 16. Un brun DM, Taubenberger JK. Understanding influenza backward. JAMA. 2009; 302:679-80.

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