Et le 'joputa' de ZP arrive et un bon post me baise...

Comme il me gêne d'avoir un post moyen perjeñado et qu'un 'joputa' venge (un mot très dans un usage ces jours dans la Communauté de Madrid) et me le jorobe. Puisque M. Président Rodriguez Zapatero a fait cela la semaine passée fíjesensé vous.
Je lisais que les britanniques avaient approuvé la retraite à 67 ans (la chose qui m'a produit un frisson) et tout de suite j'ai commencé à donner une forme à une idée. La chose était plus ou moins ainsi : "si tu vois voter le PP à plus grand quelqu'un de 60 ans tu peux cagarte chez ses morts".
Il allait argumenter le tontuna sur le fait qu'en Espagne seulement le PP avait osé poser des mesures pareilles et sur la haine viscérale que des pensionnaires ou des quasipensionnaires me produiraient en touchant les pensions auxquelles je participe activement aujourd'hui mais en votant ceux qui ne me laisseront pas les avoir à mon matin.
Et alors Rodriguez Zapatero arrive et si 'troupe' tragi-comique et ils nous cassent une proposition - sonde pour monter l'âge de mise à la retraite à 67. Hale mon post aux ordures!
Et c'est que ce pauvre, je me réfère ZP, fait des concours à un cadavre politique. Avec l'économie encore en hibernant, avec 4 millions et bec d'arrêtés, avec le patronat sans aucune envie d'investir un centime, avec les budgets d'État en grinçant, en définitive : avec le gouvernement en pendant à un fil. Et alors c'est lui qui arrive et il met un bâton aux travailleurs et aux travailleuses et aux syndicats. Une grève générale est gagnée à un pouls, les syndicats ont chaque fois moins d'excuses pour ne pas la convoquer, et Rajoy une reclaudication le fruit mûr d'un gouvernement pseudosocialiste dans une décomposition. En fumant un cigare certes, parce qu'il ne donne pas non plus plus pour.
Wikio