J'ai assisté à un curieux un débat épistolaire entre blogueros rouges en ce qui concerne un sujet pas trop commun : le football. La genèse de cette entrée est cette :
- En organisant la réponse.
- Ceronegativo.
- Depuis la carrière.
- À bloguear, à bloguear.
- Le fils Rojo.
Continuer...
Mais je me suis éloigné du football quand j'ai compris que ce n'est pas déjà un sport. Que le football dans un ressort gigantesque d'aliénation collective, d'intervention politique et d'affaires troubles économiques toujours de la main des personnages les plus gauches qui a accouché de la démocratie espagnole. Le football est aujourd'hui - il compte des années en l'étant - un grand retable national des merveilles auquel tous regardons comme con. Il ne vaut pas la peine simplement. Il ne vaut pas la peine de faire le bouillon gros à des personnages gauches et aux fascistes potentiels qui se servent du football pour étayer ses affaires et aspirations politiques. Il ne vaut pas la peine de s'identifier aux présidents ou aux penchants qui hébergent dans son sein des groupuscules fascistes. Il ne vaut pas la peine de s'identifier aux sociétés anonymes qui tels quels cherchent seulement le bienfait de ses actionnaires. Un oeil, que le bienfait se mesure pas seulement en comptes de résultats des S.A.D. ou encore pis, des 4 clubs qui existent encore. En définitive, il y a beaucoup d'années je me suis séparé du football et mon refus viscéral me reste seulement de cette époque vers le Madrid Réel.
Mais il regarde où oui qu'il y a une forme distincte de vivre le football, le FC St Pauli est un exemple. Du FC St. Pauli dit le wiki :
Il a été vers le milieu des 1980 quand le St. Pauli a commencé la transition d'un club traditionnel à un "Kult". Le club a aussi changé la situation de ses terrains de jeux au quai de St. Pauli, près du fameux Reeperbahn de Hamburgo, un centre de la vie nocturne de la ville et du quartier de Chine. D'une manière spontanée, ils ont surgi, les idéaux communistes et socialistes par lesquels on incline le club et l'atmosphère caractéristique de ses partis. Les supporters ont adopté le crâne avec os croisés comme son propre emblème pas officiel. Le St. Pauli est devenu la première équipe en Allemagne dans interdire officiellement l'idiología de droite et les activités nationalistes, dans une époque dans laquelle le fascisme inspirait le vandalisme dans le football.
En 2005 le club, l'équipe et les supporters ont commencé la campagne Vive avec l'eau de Sankt Pauli, avec laquelle reunó un argent pour des dispensateurs d'eau pour des écoles en Cuba.
Le FC. St Pauli jouit d'une certaine célébrité par le caractère d'Antifasciste de ses supporters : la plupart de supporters de l'équipe se considère comme eux mêmes comme antiraciste, antifascistes et antisexistes, et cela dans une occasion leur a apporté un conflit avec neo-nazis et hooligans. L'organisation a une posture ouverte contre le racisme, le fascisme, le sexisme, et l'homophobie et elle a incorporé cette position dans sa constitution. Les partisans de l'équipe participent traditionnellement à des manifestations dans le district de St. Pauli, y compris ceux-là sur le logement de bas revenus comme l'Hafenstraße et bambule. Le centre d'activité des fans est le Fanladen St. Pauli.
À un aujourd'hui je me considère seulement comme supporter du Fc St. Pauli et un peu d'antimadridiste. Le reste de football m'intéresse un sifflet et qu'ils l'interdisaient avec ses budgets indécents, ses nouveaux riches de jambes d'or, ses présidents populistes ou directement fascistes, ses ultras neonazis et ses milliers et les milliers de cumulus qui se manifestent aussitôt que son équipe baisse à la Deuxième Division mais non quand ils ferment l'usine dans laquelle ils travaillent ou découpent ses droits.
Il remarque des parents et des amis : XXL du Fc recevrait avec une grande allégresse un tee-shirt. St. Pauli. Ils sont achetés ici. Et ici le Facebook del St. Pauli.
Wikio
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