Thursday, March 11, 2010

Une Eurovision 2010

Par Javi
Nous allons élever le niveau d'érudition de ce blog en parlant d'un sujet d'hauteur mouillée intellectuelle comme c'est le festival de la chanson européenne.
Rappelons que, après avoir mené en envoyant à l'Eurovision truño après truño depuis que la mémoire m'atteint, l'année passée RTVE a donné l'occasion aux sujets du Royaume de l'Espagne de décider à qui d'envoyer au concours pelliculeux.
Aussi comme il succède dans les élections législatives, les sujets ont majoritairement voté pour ceux qui il leur a été indiqué qu'ils votaient depuis les grandes entreprises de communication. L'option proposée, Roberto Chikilicuatre, était originale et amusante. La télévision espagnole, consciente dont le porter à l'Eurovision pourrait marquer quelques cotes de popularité historiques, a aplani le terrain pour qu'il emportât à un effet.
Certes que cela a beaucoup fâché quelques êtres d'apparence humaine connus comme “les eurofans”, chose qui a énormément réjoui un serviteur, qui soupçonne depuis un temps que “les eurofans” ne sont pas mais des monstres étranger au service de Xenu.
RTVE a répété une formule cette année, et Telecinco a décidé d'être cette fois qui faisait l'accouchée de proposer un personnage aberrant (en somme à Karmele Marchante) comme représentant du Royaume. Il ne comptait pas plus la chaîne que préside Alejandro Echavarría avec qui un TVE ne leur suivrait pas la grâce : en interprétant strictement une série de normes, la chaîne publique a chargé la candidature de Karmele (qui était jusqu'à présent avec la différence la plus votante) et avec elle a aussi chargée celle du grand Chimo Bayo, qui ne disposait pas de la faveur de l'oligarchie mediática.
Cela a une grande importance : éliminer Karmele est comment tant ilegalizar les candidatures du PPSOE. Maintenant les sujets sont nerveux, ont plus de liberté qu'ils peuvent faire des démarches et ils ne savent pas ce que faire avec elle.
Des sujets du Royaume de l'Espagne, ne vous préoccupez pas, qu'ici nous sommes pour, depuis l'arrière-garde du prolétariat, organiser une réponse : votez Au Mamelon Rouge.
Pourquoi ? Donc parce que des cinq candidats les plus votants qui restent après la grande purge, il y a trois triunfitos des méchants (valez la redondance) et d'une fille que je ne sais pas qui est mais dont la chanson est un truño qui nous évoque à d'autres truños eurovisivos précédents comme ceux “d'Ils Sont du Soleil”, “Lydia“ ou “Marcos Llunas“.
Celle de Mamelon Rouge est amusée, original et se permet d'écouter. Avec elle nous ne gagnerons pas d'Eurovision, mais ni l'envie que nous avons de le faire.

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